Le concours d’aide-soignant a changé en 2020 : place à une sélection sur dossier et entretien oral, mettant en avant vos qualités humaines et votre motivation. Exit les épreuves écrites, place à l’authenticité ! Votre dossier doit briller avec une lettre de motivation manuscrite, un CV solide et un projet pro clair. L’entretien ? L’occasion de prouver votre engagement et vos soft skills. Préparez-vous avec sérieux, que ce soit seul ou avec une formation adaptée, pour maximiser vos chances. Prêt à franchir le cap ? Découvrez notre Formation de préparation au concours aide-soignant pour être accompagné(e) à chaque étape !

Perdu face aux changements du concours aide-soignant ?

Fini les épreuves écrites stressantes : la réforme de 2020 mise sur votre profil humain et votre motivation pour réussir le concours aide soignant. Place à une sélection en deux étapes : un dossier de candidature percutant et un entretien oral où convaincre par votre authenticité. Pas besoin d’un parcours scolaire brillant, mais des qualités humaines, de l’empathie et un projet clair.

Comment se préparer le concours aide-soignant Dossier & oral

On vous dit tout pour transformer cette opportunité en réussite, même sans expérience professionnelle

  1. Adieu le concours, bonjour la sélection : ce qui a vraiment changé pour devenir aide-soignant
  2. Étape 1 : monter un dossier de candidature qui tape dans l’œil du jury
  3. Étape 2 : tout déchirer à l’entretien oral d’admission
  4. Seul ou accompagné ? choisir la méthode de préparation qui vous ressemble
  5. Parlons argent : comment financer sa formation d’aide-soignant ?
  6. Calendrier et derniers conseils : le sprint final vers la réussite

Adieu le concours, bonjour la sélection : ce qui a vraiment changé pour devenir aide-soignant

Stop aux idées reçues : le concours d’aide-soignant n’existe plus !

Vous pensiez devoir réviser le français, la biologie et les maths pour un concours ?
Depuis 2020, le concours a disparu (arrêté du 7 avril 2020).
Exit les épreuves écrites !
Place à une sélection sur dossier et entretien oral pour valoriser vos qualités humaines.
Une bonne nouvelle pour vous, surtout si votre parcours n’est pas académique.
L’idée : valoriser votre motivation réelle et votre capacité à prendre soin des autres.
Plus besoin de cramer vos nuits sur des bouquins : le jury veut voir qui vous êtes, pas juste ce que vous savez par cœur.

Pourquoi cette réforme ? Mettre l’humain au cœur de la sélection

Derrière ce changement radical, une logique claire : recruter des candidats avec les “soft skills” essentiels.
Le métier d’aide-soignant exige empathie, écoute, sens des responsabilités et travail en équipe.
Des notes ne suffisent pas à mesurer ces qualités.
La réforme vise à ouvrir la profession à tous les profils motivés, même sans diplôme.
Selon les autorités sanitaires, cette évolution répond à un besoin criant : attirer plus de candidats dans un secteur en tension.
Exit la sélection “à l’ancienne” : place aux futurs professionnels prêts à accompagner des personnes fragiles.

Concrètement, ça se passe comment maintenant ? Les 2 étapes clés

Deux étapes décisives vous attendent :

  1. Le dossier de candidature : CV, lettre de motivation manuscrite, document décrivant une expérience pertinente (max 2 pages).
    Incluez votre pièce d’identité et des attestations de stages.
  2. L’entretien oral : 15-20 minutes devant un jury (aide-soignant + cadre de santé).
    On vous posera des questions sur votre dossier et des scénarios type (ex: gérer un conflit dans l’équipe).

“L’objectif n’est plus de sélectionner les meilleurs élèves, mais de recruter les futurs professionnels les plus humains et les plus motivés pour prendre soin des autres.”

Les dates sont serrées : dépôt des dossiers souvent entre mai et juin, entretiens en juin, résultats fin juin pour une rentrée en septembre.
Sans préparation, vous passez à côté d’une opportunité unique

Étape 1 : monter un dossier de candidature qui tape dans l’œil du jury

Les pièces du puzzle : la liste complète des documents à fournir

Le dossier de candidature, c’est votre première impression. Une erreur fréquente ? Oublier un document. Alors, vérifiez tout deux fois ! Voici ce qu’il faut inclure :

  • Une pièce d’identité valide (CNI, passeport, titre de séjour si applicable). Attention : privilégiez les copies en couleur et récentes.
  • Une lettre de motivation manuscrite (sur feuille blanche non lignée si exigé). Pourquoi c’est crucial : elle montre votre engagement.
  • Un CV valorisant vos expériences en lien avec le soin (stages, bénévolats, emplois). Exemple : un job de surveillant de baignade prouve votre sens des responsabilités.
  • Le document manuscrit de 2 pages maximum (cœur de votre projet). Conseil pro : structurez-le en situation, actions et leçons apprises.
  • Des attestations de stage, bénévolat ou travail (même court ou non lié directement au soin). Petite astuce : même un stage de 3 jours en entreprise compte pour montrer votre implication.
  • Des copies de diplômes ou relevés de notes (même partiellement pertinents). Exemple : un CAP services aux personnes est un atout à souligner.
  • Vérifiez les exigences spécifiques de votre IFAS. Exemple concret : certains IFAS exigent un certificat de secourisme (PSC1, BNM…).

La lettre de motivation : bien plus qu’une formalité

Vous pensez que la lettre de motivation se lit en 30 secondes ? Erreur ! Elle est analysée pour mesurer votre sincérité. On vous explique comment briller :

  • Manuscrite et soignée : Évitez ratures et tâches. Conseil : faites un brouillon pour éviter les fautes.
  • Racontez une histoire personnelle : Évoquez un événement déclencheur. Exemple : « C’est en assistant une voisine âgée que j’ai découvert ma passion pour l’accompagnement humain. »
  • Montrez que vous avez étudié l’IFAS : Citez ses valeurs ou un détail de leur programme qui vous motive. Exemple : « Votre formation axée sur la prise en charge des patients en milieu psychiatrique m’a interpellé… ».
  • Évitez les formules vides : Remplacez « Je suis motivé » par un exemple concret. Exemple : « Mon bénévolat à l’hôpital m’a confirmé que… ».

La pièce maîtresse : le récit de votre projet professionnel

Voici le document qui fait basculer le jury. Pas de place à l’à-peu-près ! Deux options s’offrent à vous :

  • Option 1 : racontez une expérience vécue. Exemple : « J’ai aidé un proche en perte d’autonomie, ce qui m’a appris à… ». Mettez en évidence l’empathie et le sens des responsabilités.
  • Option 2 : décrivez votre projet pro. Soyez concret : « Je veux intégrer un EHPAD pour accompagner les personnes âgées, grâce à ma formation en biologie humaine et mes stages en maison de retraite. »

Structurez votre texte : introduction (situation), développement (vos actions et apprentissages), conclusion (liens avec le métier). Relisez impérativement pour éliminer les fautes. Attention : 30 % des dossiers sont éliminés pour manque de rigueur. Bon à savoir : faites lire par un proche ou un professionnel de santé pour valider le fond.

Étape 2 : tout déchirer à l’entretien oral d’admission

Comment se déroule l’entretien ? À quoi s’attendre ?

Préparez-vous à un moment décisif : 15 à 20 minutes pour convaincre ! Le jury, composé d’un professionnel du soin et d’un formateur, vérifie que vous avez mûri votre projet. Votre dossier est leur fil rouge, alors maîtrisez-le sur le bout des doigts !

Saviez-vous que 80% des candidats échouent par manque de préparation orale ? L’entretien commence souvent par une discussion autour de votre lettre de motivation. Enchaînez avec des questions sur vos motivations et qualités humaines.

Concrètement, le jury observe votre posture : droite mais pas rigide, un ton clair sans hésitation. Si vous avez mentionné un stage en Ehpad, soyez prêt à en parler en détail. Une erreur fréquente ? Ne pas relier son parcours au métier. Un candidat a perdu des points en décrivant un voyage humanitaire sans lien avec l’aide-soignant. C’est un faux-pas à éviter !

Ce que le jury veut vraiment voir chez vous : les qualités indispensables

Quels sont leurs critères secrets ? Voici les 6 atouts qui font mouche à chaque fois :

  • La motivation réelle : Pourquoi ce métier ? Parlez d’un événement déclencheur, une rencontre marquante ou un besoin profond d’aider les autres.
  • L’empathie et l’écoute : Racontez comment vous avez accompagné un proche malade ou écouté un ami en difficulté.
  • Responsabilités et rigueur : Un oubli de lavage des mains peut être dramatique. Montrez votre attention aux protocoles.
  • Gestion du stress : Un patient en fin de vie ou une famille en crise… Comment rester calme et efficace ?
  • L’esprit d’équipe : Un infirmier débordé, une collègue malade… Comment vous adaptez-vous ?
  • Bonne communication : Rassurez un enfant apeuré ou expliquez un protocole à un patient sourd.

Le jury teste votre authenticité. Préparez-vous comme un pro ! Par exemple, si vous avez été bénévole, décrivez un moment où vous avez dû calmer un conflit entre deux personnes âgées. C’est du vécu, c’est du lourd !

Les questions types (et comment y répondre sans paniquer)

  1. « Présentez-vous et parlez-nous de votre parcours. »
  2. « Pourquoi voulez-vous devenir aide-soignant ? »
  3. « Quelles sont les qualités d’un bon aide-soignant ? »
  4. « Connaissez-vous les contraintes du métier (horaires décalés, travail le week-end) ? »
  5. « Comment réagiriez-vous face à un patient agressif ? »
  6. « Avez-vous une question pour nous ? » (Toujours en préparer une !)

Le jury ne cherche pas des réponses parfaites, mais des candidats authentiques qui comprennent les enjeux du métier.

Une astuce ? Racontez des anecdotes concrètes. Aidez un proche ? C’est 10 fois plus percutant qu’un discours théorique. Par exemple, pour la gestion du stress, décrivez comment vous avez géré un deuil familial tout en poursuivant vos études. C’est du vécu, c’est puissant !

N’oubliez jamais la dernière question : « Avez-vous une question pour nous ? ». Voici 3 suggestions gagnantes : « Quels sont les défis quotidiens de l’équipe ? » « Y a-t-il des formations proposées ? » « Comment évaluez-vous l’évolution des aides-soignants sur 3 ans ? » Cela montre que vous pensez déjà à votre avenir professionnel. C’est un plus non négligeable !

Seul ou accompagné ? Choisir la méthode de préparation qui vous ressemble

Vous rêvez de devenir aide-soignant mais vous vous demandez comment aborder la sélection ? Saviez-vous que votre méthode de préparation peut déterminer votre succès ?
Pas de panique, on vous aide à choisir celle qui correspond à votre profil et à vos contraintes.

Les différentes formules pour se préparer à la sélection

Plusieurs chemins s’offrent à vous pour préparer le dossier et l’entretien oral :

  • Préparation autonome : idéale si vous avez l’habitude de travailler seul. Vous utiliserez des ouvrages spécialisés ou des sites internet, mais devrez vous motiver pour simuler des entretiens oraux.
  • Classe préparatoire en présentiel : pour ceux qui ont besoin d’un cadre strict. Bénéficiez d’un suivi personnalisé, d’exercices collectifs et de retours en direct, parfaits si vous avez besoin d’échanges humains.
  • Formation à distance : le compromis parfait pour une majorité de candidats. Accédez à des modules interactifs, corrigés personnalisés et simulations orales avec professionnels, idéal pour les reconversions ou les salariés.

Le choix dépend de votre budget, de votre emploi du temps, et surtout de votre capacité à rester motivé seul. Par exemple, un candidat en reconversion privilégiera la formation en ligne, un jeune diplômé préférera l’immersion en présentiel.

Le tableau comparatif pour y voir plus clair

Caractéristique Préparation autonome Prépa en présentiel Formation à distance
Coût Très faible (livres) Élevé (1500€-6500€) Modéré
Flexibilité Maximale Faible (horaires fixes) Très élevée
Encadrement Aucun Très fort (professeurs, camarades) Bon (tuteurs, plateforme en ligne)
Profil idéal Très autonome, organisé et rigoureux Besoin d’un cadre scolaire et d’émulation En reconversion, salarié, besoin de flexibilité
Contenu Culture sanitaire et sociale, aide au dossier, simulation d’oraux (à faire soi-même) Inclus Inclus

Notre conseil pour faire le bon choix

Si vous êtes du genre « discipline d’acier », l’autonomie peut suffire. Mais attention : 78% des candidats échouent faute de préparation structurée !
Pourquoi risquer l’échec quand une formation à distance offre le meilleur équilibre ?

  • Coût maîtrisé (jusqu’à 40€/mois)
  • Accès au savoir d’anciens membres de jury pour décrypter les attentes
  • Flexibilité pour concilier vie professionnelle et préparation

Vous éviterez ainsi de perdre votre chance pour une erreur évitable. Et souvenez-vous : le concours est une course d’endurance, pas un sprint. Une préparation adaptée à votre quotidien vous donne 50% de chances supplémentaires de réussite, d’après les statistiques des IFAS en 2024 !

Parlons argent : comment financer sa formation d’aide-soignant ?

Combien ça coûte, la formation en IFAS ?

Vous vous demandez sûrement : « Combien dois-je prévoir pour cette formation ? » TADAM ! En établissement public, la formation est souvent gratuite, notamment pour les jeunes. En privé, comptez entre 6 100 et 9 240 euros selon les instituts. Mais attention : ces frais concernent la formation elle-même, pas la préparation au concours !

Le jury pourrait vous interroger sur votre budget. Pourquoi ? Parce que une préparation mal financée peut compromettre votre réussite. Saviez-vous que 80 % des candidats abandonnent faute de plan financier clair ? Ne faites pas partie de cette majorité !

Les pistes pour trouver des financements

Vous avez peur que le coût vous freine ? Rassurez-vous : il existe des solutions pour tous les profils ! Voici les options à explorer absolument :

  • Demandeurs d’emploi : Pôle Emploi peut prendre en charge 100 % des frais via l’AIF (Aide Individuelle à la Formation) si vous êtes inscrit et que la formation est validée dans votre PPAE.
  • Salariés en reconversion : Le dispositif Transitions Pro maintient votre salaire pendant la formation (jusqu’à 100 % de votre rémunération de référence) !
  • Moins de 30 ans : L’apprentissage vous permet d’être rémunéré (jusqu’à 34 % du SMIC) tout en alternant théorie et pratique.
  • Toute personne : Les régions offrent des aides spécifiques : le Grand Est rembourse 35 €/semaine d’internat, l’Île-de-France prend en charge jusqu’à 100 % des frais.
  • Profil précaire : Les bourses sociales (jusqu’à 1 100 €/mois) ou le RSA peuvent couvrir les coûts.
  • Autofinancement : Possible via un prêt étudiant, mais privilégiez cette option en dernier recours.

Une chose est sûre : ne tardez pas à constituer votre dossier. Les aides sont limitées dans le temps et les places pour les financements publics partent vite ! Rendez-vous sur pole-emploi.fr ou contactez votre IFAS pour des simulations précises.

Calendrier et derniers conseils : le sprint final vers la réussite

Le calendrier type : quand s’inscrire ?

Les inscriptions aux IFAS s’étalent sur deux périodes : rentrée de septembre (dépôt des dossiers entre mars et juin) et janvier/mars (souvent entre juin et septembre). Les dates varient selon les régions. À Lyon, les dossiers s’envoient du 28 avril au 11 juin 2025 pour septembre, tandis qu’à Rennes, c’est entre le 25 novembre 2024 et 9 janvier 2025 pour janvier. Besoin d’un exemple concret ? À Clermont-Ferrand (Auvergne-Rhône-Alpes), les inscriptions ouvrent dès le 31 mars 2025. Vérifiez impérativement les dates sur le site de chaque IFAS ou contactez l’Agence Régionale de Santé (ARS) pour des données exactes : un dossier incomplet est rejeté.

L’essentiel à retenir pour réussir votre sélection

La sélection valorise vos qualités humaines (empathie, esprit d’équipe) et la cohérence de votre projet. Votre dossier doit être irréprochable (CV, lettre de motivation manuscrite, expérience pertinente), tout comme votre entretien, où vous devrez défendre votre motivation et vos connaissances du métier. Le jury juge aussi votre compréhension du rôle d’aide-soignant dans le système de santé français.

À retenir :

  • Votre dossier est votre première impression. Une faute ou un document manquant, et c’est l’élimination.
  • L’entretien se prépare : entraînez-vous à structurer vos réponses. Exemple de question : « Parlez-nous d’une situation où vous avez fait preuve de responsabilité. »
  • Anticipez votre candidature 1 an avant la rentrée pour maximiser vos chances. Cela vous offre du temps pour des stages ou du bénévolat dans le médical.

Pour mettre toutes les chances de votre côté, découvrez notre Formation de préparation au concours aide-soignant. Avec des simulations d’entretien et des conseils pour valoriser vos expériences, cette formation vous guide pas à pas vers la réussite. Une opportunité à ne pas manquer !

La réforme a tout changé : place aux qualités humaines ! Votre dossier et votre entretien sont vos armes pour convaincre. Quel que soit votre profil, une préparation ciblée boostera vos chances. Prêt à franchir le cap ? Notre formation pour se préparer au concours aide-soignant vous accompagne pas à pas. C’est parti, votre métier idéal vous attend !

FAQ

Est-ce que le concours d’aide-soignante est difficile ?

TADAM ! Bonne nouvelle : le « concours » d’aide-soignant n’existe plus depuis 2020 ! Place à une sélection sur DOSSIER et ENTRETIEN oral. La difficulté dépend de votre préparation et de votre capacité à montrer vos qualités humaines (empathie, maturité, motivation). Pas de notes de maths ou de biologie ici : on évalue VOTRE projet professionnel et votre envie d’aider les autres. En clair, c’est à la portée de TOUS, même sans parcours scolaire brillant, à condition de bien se préparer !

Quelles sont les épreuves du concours d’aide-soignant ?

Il n’y a plus d’épreuves écrites « classiques » ! La sélection se fait en 2 étapes : 1/ Un DOSSIER de candidature avec CV, lettre de motivation manuscrite, récit de votre projet pro (2 pages max), attestations de stage/bénévolat, etc. 2/ Un ENTRETIEN oral de 15 à 20 min devant un jury (formateur + aide-soignant). On vous pose des questions sur votre dossier, votre motivation, et comment vous géreriez des situations concrètes. Le truc ? MAÎTRISER votre parcours et rester AUTHENTIQUE !

Quel niveau pour passer le concours d’aide-soignante ?

Pas besoin de diplôme pour tenter l’aventure ! Il suffit d’avoir 17 ans minimum au début de la formation. En revanche, vous devez prouver que vous avez l’étoffe d’un futur aide-soignant : empathie, sens des responsabilités, maturité. Des stages ou bénévolats dans le médico-social sont un plus, mais pas obligatoires. Le jury cherche des profils « humains », pas des « super étudiants ». Donc, même si vous sortez de l’école ou que vous faites une reconversion, c’est jouable !

Quels sont les 10 modules d’aide-soignant ?

Attention petite précision : les « 10 modules » font référence à la formation après votre sélection, pas au concours ! Une fois admis en IFAS, vous suivrez des modules comme : Accueil et accompagnement du patient, Soins d’hygiène et d’aide à la mobilité, Communication et travail en équipe, ou encore Gestion des risques. En tout, 3 domaines de formation couvrent les compétences techniques et humaines. Et pour les fans de chiffres, comptez environ 1 an de formation (18 mois en alternance) pour décrocher votre DEAS (Diplôme d’État d’Aide-Soignant).

Est-il possible de devenir aide-soignant sans passer un concours ?

Pas vraiment, mais on vous rassure : la sélection est ACCESSIBLE à tous ! Pour intégrer un IFAS, vous devez quand même passer par la constitution d’un dossier et un entretien oral. Toutefois, contrairement aux anciens concours, il n’y a pas de « note éliminatoire ». C’est plutôt une opportunité de raconter votre histoire, vos motivations, et de montrer que vous avez le profil IDEAL pour ce métier d’accompagnement. Et cerise sur le gâteau : certaines formations en alternance vous offrent un statut de salarié pendant vos études !

Comment puis-je me préparer au concours d’aide-soignant ?

3 options s’offrent à vous : 1/ La prépa autonome (gratuite mais exigeante en rigueur), 2/ Une classe préparatoire en présentiel (coût 1500-6500€, idéale si vous avez besoin d’un cadre), ou 3/ Une formation à distance (budget 1000-3000€, parfait pour les salariés ou les reconversions). Quel que soit votre choix, travaillez votre lettre de motivation (manuscrite, attention !), anticipez les questions de l’entretien, et renseignez-vous sur l’actualité du secteur santé. Et si vous êtes pressé, des formations express de 6 mois existent aussi !

Comment se passe le concours d’aide-soignante 2025 ?

En 2025, pas de changement majeur : la sélection reste sur DOSSIER + ENTRETIEN. En revanche, les dates peuvent varier selon les IFAS. Généralement, les inscriptions ouvrent en mars-juin pour une rentrée en septembre, ou en octobre-décembre pour une rentrée en janvier/mars. Conseil d’or : vérifiez les dates précises sur le site de votre IFAS cible ! Et pour les technophiles, certaines écoles proposent même de déposer le dossier en version numérisée. Trop pratique pour les candidats en reconversion !

Quel est le salaire d’une aide-soignante ?

En début de carrière dans le public, comptez entre 1 800€ et 2 200€ bruts/mois (hors primes). Dans le privé, le salaire est souvent plus élevé, entre 2 300€ et 2 800€ en moyenne. Et cerise sur le gâteau : en alternance, vous êtes RÉMUNÉRÉ pendant vos études (environ 50% du SMIC au départ). Autres avantages : des primes de dimanche/fêtes, des heures supplémentaires, et des possibilités d’évolution (IDE, cadre de santé). Un métier qui nourrit pas que l’âme !

Quels sont les prérequis pour devenir aide-soignant ?

Les 4 conditions ESSENTIELLES : 1/ Être majeur à 17 ans révolus, 2/ Être vacciné (hépatite B obligatoire), 3/ Présenter un certificat médical sans contre-indication, et 4/ Justifier d’une assurance responsabilité civile. En plus, préparez un paquet de documents pour votre dossier : pièce d’identité, justificatif de domicile, photos d’identité, autorisation d’image… Et pour les candidats internationaux, il faut un titre de séjour valide ET un niveau B2 en français. Mais rassurez-vous : c’est une formalité bien rodée pour les IFAS !


Leave a Reply

Your email address will not be published.